Je serais un alpage bucolique, où toutes les saisons offrent un spectacle différent, mais toujours empreint de poésie et de sérénité. Sur ses pentes, des gentianes aux edelweiss en passant par les rhododendrons, c’est un véritable festival de couleurs qui comble le regard. Des bouquetins qui serpentent au milieu des rochers millénaires, aux marmottes qui sortent de leurs terriers et qui vous regardent d’un air espiègle, la faune dite sauvage semble plus civilisée que les citadins. A cette altitude l’air que l’on respire est plus pur, l’eau est plus limpide et l’âme ressent profondément ce bien être que l’on appelle bonheur !