Quand on voyage, on a souvent la mauvaise habitude de ne pas essayer de rencontrer les gens. Parce qu'on ne parle pas leur langue, ou parce qu'il y a sûrement d'autres raisons personnelles. Quand je suis allée au Costa Rica, j'ai rencontré des locaux et j'ai découvert leur gentillesse et leur bienveillance. Je me suis arrêtée dans un bouiboui, pour me restaurer et goûter à la vraie cuisine locale. Seule cliente, je rencontre un couple de personnes âgés propriétaires de ce bouiboui. Je commence à essayer de leur parler, car ils avaient l'air adorables et très serviables. Mais, le Papito, lui seul dégagé une certaine carapace. Tandis qu'il me parlait et voulez faire connaissance. Il voyez bien que j'étais une touriste. C'était difficile de lui faire sortir un sourire même en parlant de choses joyeuses. J'ai tellement adoré son charisme que j'ai voulu lui tirer un portrait. Devant la caméra, la seul expression était celle-ci. Un regard très profond, qui en dit long. Il a pris la pose, très naturellement. Juste après ces clichés, sur sa chaise devant son restaurant, avec son air imposant et charismatique, il serre la mains aux passants, aux habitants, aux locaux qui passent devant lui. Car oui, c'est en faite lui de Papito, l'ancien qui a la classe.
